Questions fréquentes

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Un professionnel des langues à votre service

Le maximum d’informations, c’est toujours ce qu’il y a le mieux ! Cela me permet de situer le contexte et de savoir ce que vous souhaitez obtenir au final. Plus j’en sais, meilleur sera le résultat !

Pensez toujours à me donner les éléments suivants :

  • La langue dans laquelle vous désirez la traduction : normalement, il devrait s’agir du français, mais je préfère en être sûr.
  • Le document : parfois, le document est encore en cours de rédaction ou pas encore entamé, mais vous avez besoin d’une idée de budget. Dans ce cas, je peux bien entendu vous fournir un devis estimatif. Donnez-moi le maximum d’informations afin que j’établisse un prévisionnel. Notamment en ce qui concerne le volume que vous comptez atteindre (nombre de mots, caractères, lignes ou pages…).
  • Le contexte : comment votre document sera-t-il utilisé ? Par qui a-t-il été rédigé ? À qui est-il destiné ? La publication sera-t-elle en print ou pour le web… ? Ce sont autant d’informations qui me permettront d’adapter le ton, le style et la forme de la traduction et donc de fournir une meilleure qualité.
  • Les documents annexes : Mémoire de traduction, glossaires, documents semblables et publications précédentes. Tous ces autres documents qui existent déjà permettent de conserver une ligne éditoriale homogène.

Dans tous les cas, n’hésitez pas à me contacter. Si vous ne m’avez pas tout dit, je vous poserai la question !

Cela dépend grandement de la complexité du document de base et des recherches qu’il faut effectuer. Entrent également en considération les volumes à traduire. Il n’y a donc pas de vérité absolue quant à la vitesse de traduction, mais en règle générale, on compte entre 2000 et 3000 mots par jour traduits par un professionnel avec soin relecture comprise.

Je ne traduis qu’en et uniquement en français. Cela fait partie du code de déontologie du traducteur : un professionnel ne traduit que vers sa langue maternelle. Aussi bon soit le traducteur, s’il n’est pas natif, il aura du mal à reproduire un certain nombre d’éléments. Les expressions idiomatiques, les tournures alambiquées et autres expressions complexes ne ressortiront pas avec les nuances qui les caractérisent. N’hésitez pas néanmoins à me faire part de vos projets. Je pourrais sans doute vous orienter vers quelques-uns de mes partenaires.

La réponse est malheureusement non. C’est un traducteur expert judiciaire enregistré auprès d’un tribunal de grande instance qui effectue ce type de prestation. Je n’exerce pas auprès des tribunaux par choix. La liste des traducteurs assermentés est cependant disponible directement auprès des tribunaux de chaque région. À titre d’exemple, un site regroupe une bonne partie des experts qui exercent sur Paris : la CETIECAP.

Comme toutes les professions, les traducteurs possèdent leurs outils et leurs logiciels. La TAO ou Traduction Assistée par Ordinateur, c’est un type de logiciels qui, comme son nom l’indique, aide les traducteurs. Ces outils permettent de gagner non seulement en vitesse, mais aussi en cohérence et en exactitude. Ils offrent la possibilité de tirer parti des mémoires de traduction, de glossaires interactifs, de vérificateur d’orthographe, de mise en forme, etc. L’exemple le plus connu est sans conteste Trados, mais il est loin d’être le seul. En effet, il en existe plus d’une vingtaine d’outils sur le marché, avec leurs avantages et leurs inconvénients ! Pas de panique, la plupart de ces logiciels sont compatibles les uns avec les autres grâce à des formats de fichiers standard. Personnellement, j’utilise indifféremment Trados et Memsource, mais ma carrière en agence m’a permis de me servir de bien d’autres outils…

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